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France Victimes est un service gratuit d’aide à toutes les personnes qui s’estiment victimes d’une infraction !

France Victimes est porté par l’INAVEM (Fédération nationale d’aide aux victimes et de médiation) qui développe et intervient depuis 30 ans sur l’aide et l’assistance aux victimes, les pratiques de médiation, les mesures contribuant à améliorer la reconnaissance des victimes, leur apaisement et leur restauration.

L’INAVEM fédère 130 associations réparties dans chaque région. Elles interviennent au niveau de l’accueil et de l’écoute des victimes (atteintes à la personne ou aux biens, accidents de la circulation, acte de terrorisme, accidents collectifs...), mais aussi en ce qui concerne l’information sur les droits, et comment les faire valoir si la victime le souhaite, le soutien psychologique associé, et l’accompagnement social des victimes.

En 2015, plus de 300 000 personnes ont été aidées par le Réseau France Victimes, 4,5 millions de victimes en cumulé sur 30 ans

Les associations d’aide aux victimes sont ouvertes à tout public, leurs services sont proposés à titre gratuit et dans la durée. Elles interviennent sur tous les champs de la victimisation : assassinats, agressions, numérique, violences conjugales et familiales, catastrophes collectives, terrorisme, accidents de la route, harcèlement moral et sexuel au sein du couple, au travail, à l’école, violences sexuelles, escroqueries, cambriolages, menaces, injures…

INAVEM est spécialisé dans l’aide aux victimes, c’est la référence en FRANCE pour une prise en charge globale et gratuite.

L’INAVEM a cette particularité d’être la structure de référence en France pour l’aide aux victimes, pour toutes les victimes, par ses implantations locales, son organisation regroupant des professionnels spécialistes de la santé psychique, du juridique et du social. A la différence des associations de victimes, l’INAVEM ne se constitue pas partie civile au procès.

Ainsi les associations FRANCE VICTIMES proposent une écoute privilégiée pour identifier l’ensemble des difficultés des victimes (sentiment d’isolement, souffrance psychologique, méconnaissance du droit…). Elles répondent à leurs besoins par une aide psychologique (choc émotionnel, stress post-traumatique…), une information sur les droits (organisation judiciaire, procédures, préparation aux expertises et systèmes d’indemnisation…), un accompagnement social et une orientation vers des services spécialisés (avocats, services sociaux médico-psychologiques, assurances…).